Bon ca tombe bien j'adore écrire des nouvelles, alors j'vais pondre quelque chose de, j'espère, correct.
Hurricanecarter, tu considères que l'élite doit aller chez les Prétoriens, c'est ca ?
Hum. Je vais me pencher plus encore sur les deux factions, je suis donc hésitant entre les deux camps Mea culpa.
Un coup de pieu. Une giclade de sang. Un corps s'effondre.
"- C'était MA donzelle, vil fumier !" hurlais-je. Moi, CochonPané, venait d'abattre un homme qui avait commis l'outrage de poser ses mains sur la joue de ma pompom girl de compagnie. C'était sa dernière erreur, elle lui eu étée fatale. Je ramassais par terre son pique de bois. Ce pleutre ne l'avait même pas renforcé de piques afin d'arracher les chairs. Quel aventurier bas de gamme. Je m'approchai doucement de ma cinquante quatrième maîtresse, tentant de la rassurer :
"-Ce n'est rien, Gertrude, il est mort. Tu es à moi, chérie. Rien qu'à moi.
-Oh, CochonPané, que tu es fort, beau, intelligent et courageux !
-Je le sais. C'est d’ailleurs pour ca que tu vas nettoyer ma peau de bête de tout le sang qui la macule. Et vite.
-Tout de suite."
Ma copine du moment s'en allai donc exécuter prestement ma directive. Le chevalet de tannage se trouvait au fond de ma caverne, là où la densité de population de rats au mètre carré dépassait la densité de japonais dans un magasin de jeux lors de la sortie d'un Monster Hunter. Vous l'avez compris, ces saloperies grouillaient.
C'est alors qu'un bohnomme en rouge s'approcha de ma grotte. Il avait une espèce de plaque de bois dans une main et une épée de l'autre. Rouges aussi. Il accéléra vivement, courru jusqu'à ma nouvelle dulcinée et s'empara d'elle. A peine eus-je le temps de reprendre mon arme, qu'il était déjà loin dans la toundra. Au sol, un papier :
"-Gertrude est mienne maintenant. Chacun son tour, n'est-ce pas, misérable CochonPané ?
Signé : Un garde Arkonien"
J'étais fou de rage. Comment un type sorti de nul par a-t-il pu voler mon énième maîtresse ? Un tel affront devait être vengé. C'est ainsi que je me dirigai en direction du camp des Prétoriens de trucider ce vil rebelle de la forêt et de me réjouir de son trépas.
Voilà, j'trouve ca pas trop mauvais. Après dites ce que vous en pensez.